Bienvenue sur notre site nouveau design 2017 pour fêter nos 20 ans dans l’élevage canin
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Notre projet, en marge de nos chiens
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Nous aménageons notre terrain au fur et à mesure afin que nos chiens puissent s’épanouir le mieux possible et déclarer leur passion de la chasse, tout en ayant pour nous, un magnifique paysage dont on va pouvoir profiter tous les jours :  des arbres, des haies de diverses couleur de feuillage, des haies fleuries de diverses couleurs et aux floraisons successives, des parterres de fleurs, un verger avec de nombreux fruits, des bosquets, des bruyeres, et bien sûr une petite partie boisée, la plus grande partie étant de la prairie, bordurée de clôtures. Il nous reste encore le petit plan d’eau à aménager. Tout de manière naturelle : pesticides et anti-maladies naturels faits maison, le plan d’eau sera naturel aussi avec une filtration par les plantes et bien-sûr la permaculture : on utilise les plantes qui vont s’aider mutuellement contre les nuisibles et maladies. En une dizaine d’année maintenant, nous avons à nouveau une terre fertile, des tas d’insectes, et les oiseaux reviennent. A partir de juin jusque octobre, si le temps est assez chaud, les cigales chantent du matin au soir, un vrai régal et bonheur. Prochain objectif : les hirondelles en leur aménageant des habitats. Mais d’abord le plan d’eau pour les attirer et les abreuver. Tout ça pour notre plaisir des yeux mais aussi pour donner aux abeilles et aux oiseaux,  un refuge et une terre accueillante, trop peu nombreux à l’heure actuelle où presque la totalité des terres sont traitées aux produits chimiques et pesticides. Un exemple à suivre, pas très loin de la Belgique, cela se passe en Normandie : A la Ferme du Bec-Hellouin. voir la video ci-contre. Avoir des chiens de chasse, ce n’est pas seulement pour chasser mais c’est bien avant tout un art de vivre, un rapport à la nature très profond, un respect et une protection de cette planète. Beaucoup décrient les chasseurs mais savez vous seulement que si pas de chasseurs, il n’y aurait pas grand monde pour s’occuper des terrains, de les rendre accueillant pour les animaux, de faire des aménagements spécifiques pour entretenir les marais, les coteaux, les haies, les talus, ... qui sont vitaux pour la vie de nombreuses espèces, qui va du lombric, aux passereaux et nombreuses espèces d’oiseaux, perdrix, faisans, bécasses, lapins, lièvres, chevreuils, sangliers, cervidés, ...  La plantation de friches, de parcelles fleuries et non traitées pour les insectes. Il faut aussi une gestion des prédateurs afin qu’il y ait un équilibre dans la faune. Si on laisse pulluler les prédateurs, c’est toute  la petite faune qui disparait. Une bonne gestion est donc indispensable. rôle et intérêts des haies : La situation actuelle est d’ailleurs catastrophique concernant les insectes. On parle beaucoup des abeilles et des très nombreuses ruches qui meurent à cause des pesticides mais pas seulement.  Dans les champs, du fait de tous les traitements mais aussi des graines enrobées traitées (tueuses de bon nombre d’oiseaux qui les mangent en créant des troubles nerveux, (constat sur mes propres pigeons qui reviennent à la volière)), les insectes et les vers de terre ont disparu avec pour conséquence .... que la terre n’absorbe plus correctement l’eau, d’où par temps d’orages, des déferlements d’eau sur les routes, dans les villages, ... Si plus de vers dans le sol, beaucoup d’oiseaux n’ont plus leur nourriture. Avec les traitements insecticides, plus d’insectes non plus et une disparition des perdrix, faisans et nombreux passereaux qui se nourrissent de tous ces insectes. La disparition des talus et un aggrandissement des parcelles de champs signifient aussi la disparition des abris et des protections pour toute cette petite faune mais aussi il n’y a plus de “coupe-vent” et les vents déferlent dans la plaine, idem lors des orages, les haies, talus, arbres n’étant plus là pour retenir les eaux, celles-ci déferlent des hauteurs. article en pdf sur les haies Ce ne sont que quelques exemples mais ils sont interpellant.  
Les oiseaux de nos campagnes sont victimes des pesticides et des pratiques agricoles : voir sur RTBF et la video. A méditer pour notre agriculture de demain, sans pesticides, un article très intéressant, sans produits en tous genres et pour une bonne santé des terres, des insectes, oiseaux, ...quelques articles intéressants sur le sujet : en France, c’est possible autrement, oui c’est possible, LCI video, video : alternative en France, video : en France, champs de Maïs, Certains se sont lancés avec succes , et ce ne sont que quelques exemples trouvés sur le net.     Une prise de conscience concernant le glyphosate et son remplaçant le Dicamba (tous 2 de Monsanto): L’Argentine qui utilise en masse les pesticides et OGM est malade voir la video & Monsanto the sick children of Argentina . En France aussi, et pas seulement.  Nous sommes tous concernés. Mon constat propre : Est-il normal que lors des pulvérisations (champs à moins de 10m de ma maison en face et sur un côté), même en sortant 1h après et en respirant, l’air est pollué, ça pue, c’est presque irrespirable, il faut fermer les fenêtres et surtout je me prends des maux de tête sérieux pendant 1 bonne semaine (aspirine et autre sans effet, il faut attendre que ça passe) ?  Autre chose, j’ai des chiens depuis 20 ans mais je n’habite à Sirault, village agricole que depuis 2007. Je n’avais jamais connu de soucis de santé avec les chiens. La 1ère année : tous mes chiens présentaient des pustules eczémateuses aux pieds et aux pattes, 2 races. Idem pour moi, je me suis pris des crises d’exzéma comme je n’en ai jamais connu, la tête et le dos comme en feu, très douloureux en plus : tête, dos, bras, jambes, ça a duré +/- 1 an, comme pour mes chiens, le temps d’adaptation à la région mais quand même !!!!! Pas très normal tout ça. Moi qui vivait au milieu des bois, avec mes chiens, en milieu en quelque sorte protégé, sans produits d’aucune sorte, j’ai été servie en arrivant ici  !!!!!! Je n’avais jamais perdu de chien par tumeurs non plus. Or, depuis que je suis ici, j’ai perdu plusieurs chiens, jeunes, 5 ans, 6 ans, de races différentes et de familles différentes, tumeur au foie, tumeur au cerveau.... sans corrélation avec le milieu ???   L’avenir nous le dira.  Après en avoir parlé à certains agriculteurs, ils ne pensaient pas que les voisins de leurs champs puissent aussi avoir des  troubles liés à leurs épandages, ils pensaient que c’étaient juste eux car ils étaient “dedans” !!! Cette année 2018, je constate  un petit mieux au niveau des épandages autour de chez moi. Ils ont été réduits et certainement les doses réduites car l’air est moins pollué. On croise les doigts pour que cela continue.  Je ne suis pourtant pas contre l’agriculture, ni les agriculteurs mais plutôt contre ces hyper-groupes ultra puissants qui nous manipulent depuis tant d’années, au nom du pouvoir et de l’argent, en conditionnant et en faisant croire aux agriculteurs qu’il n’y a pas d’alternatives, et en rendant les agriculteurs esclaves de leurs produits et graines modifiées. Est ce normal si le “remplaçant” du Glyphosate, le Dicamba, tue tout sur son passage, est extrêmement volatile (il contamine et détruit les champs voisins )mais pas seulement : impossible de semer autre chose que leurs graines modifiées génétiquement, vendues à prix fort ?  Est-il normal aussi que certains qui ont des solutions se voient mettre des bâtons dans les roues pour les empêcher de développer leurs produits naturels comme Osmobio et ils ne sont sûrement pas les seuls, simplement ils dérangent ces grands groupes industriels. Il en va de même dans l’industrie Pharmaceutique, Pétrolière, ... devenus bien trop puissants au point qu’ils contrôlent les politiciens .... Dans quel triste monde vivons nous ? et surtout vers où va-t-on  et jusqu’où irons nous pour détruire notre belle planète au lieu d’en prendre soin pour les générations futures, tout ça au nom de l’argent et du pouvoir ?
Une prise de conscience indispensable et une invitation pour chacun à se remettre en question, particuliers comme les agriculteurs et surtout les producteurs de tous ces produits
Nos terrains étant hyper arides et secs en été, bien drainés certes mais pour les plantes et arbres, c’est un piège qu’il nous faut contrer. Depuis quelques années déjà, je teste les plantes, arbustes fleuris, fruitiers divers qui peuvent résister à de telles conditions mais pas seulement. Pour ce qui est de l’herbe, aucun soucis, même si elle roussit en été, dès les 1ères pluies, elle repousse et redevient bien verte. La seule chose à gérer, ce sont les mauvaises herbes qui s’empressent de prendre la place de l’herbe en cas d emanque d’eau. Eh oui, ce qu’on voudrait qui pousse, ne pousse pas, et ce qu’on voudrait voir disparaitre, continue de pousser !!!!  mais l’herbe en repoussant, reprend vite le dessus. C’est la seule chose à faire pour ce qui est des espaces herbeux. Je teste ,depuis 2018, également différentes méthodes pour approvisionner mes terrains en eau, en faisant preuve d’imagination, en développant des méthodes qui ont fait leurs preuves par le passé, des méthodes qui sont remises au goût du jour par la survenue de plus en plus régulière de très fortes chaleurs et d’un manque récurrent de pluies depuis près de 5 ans.  Ma citerne d’eau ne suffit plus, régulièrement, elle est vide. Il est donc impératif, si je veux garder un jardin fleuri et vert, de tester et d’aménager et de combiner différentes méthodes. J’en suis aux balbutiements mais déjà pas mal de personnes m’ont dit être très intéressées par telle ou telle méthode, mes projets et idées. Petit à petit, nous structurons et aménageons nos terrains : D’une part, à la plantation, j’essaie de planter des fleurs, arbustes et haies fleuries qui vont s’étager et se protéger mutuellement, que ce soit contre le soleil, les intempéries, le froid mais aussi contre les insectes ou maladies. Pour un point de vue esthétique, il faut que ce soit agréable à regarder. J’aime les fleurs et les arbustes fleuris, pour leurs couleurs mais aussi pour les abeilles et les insectes au sol et surtout les nombreux oiseaux qu’ils permettent de ramener en offrant abris, logis et nourriture.   Depuis un presque 15 ans, que je ne traite pas mes prairies avec des produits, j’ai vu la faune se développer, les oiseaux revenir petit à petit (un bel exemple : les mésanges qui sont de supers chasseurs de guêpes, ainsi aux pied du mirabellier, on retrouve chaque année, un tas de guêpes coupées en 2 et le sol grouille d’insectes. les moineaux qui avaient disparu, je les vois peu a peu revenir et quand j’ouvre la feêtre de ma cuisine, quel bonheur de les entendre chanter.  Je ne compte plus les variétés et colonies de différentes fourmis. Quand on marche dans mes prairies, quel bonheur de voir sauter des tas d’insectes, sauterelles, et autres, comme c’était le cas dans notre enfance, partout dans nos campagnes. Les champs sont actuellement devenus de vrais déserts.  A partir de juin, dès que les températures la nuit passent au dessus de 20° les cigales se mettent à chanter jusqu’à l’automne. Prochaine étape, on va tenter de faire revenir les hirondelles en leur aménageant des emplacements pour nidifier, mais aussi s’abreuver. On a déjà creusé l’emplacement d’un futur petit bassin de rétention d’eau. Il reste encore à terminer et aménager. D’autre part comme je le disais plus haut, je m’occupe de l’approvisionnement d’eau. Notre projet pour 2019, est de fabriquer des Ollas ou Oyas, pour créer des petites réserves de +/- 5l d’eau et d’en mettre dans les parterres à peu près tous les m². Comme les pots sont en terre-cuite, ils sont poreux et laissent passer petit à petit l’eau pour les plantes qui se trouvent autour. Cela permet de diminuer considérablement les arrosages. Les plantes vont puiser dans ces petites réserves uniquement ce qu’elles ont besoin d’eau. Cela permet également de gagner beaucoup de temps chaque jour en arrosage puisque normalement il ne faudrait plus remplir les oyats / ollas, qu’1 fois par semaine environ. Nous testons également en complémentarité, une autre méthode, beaucoup plus actuelle et moderne puisque encore en cours de développement, il s’agit des  “hydro-rétenteurs” d’eau, petits cristaux en copolymère acrylamide capables de se gonfler d’eau. Ces petits grains mélangés au terreau ou à la terre, sont capables de stocker plus de 500 fois leur poid initial en eau. Une fois mis en terre, ils sont efficaces au moins 4 ans en se gorgeant d’eau au gré des pluies ou des arrosages et la libérant durant les périodes plus sèches. Ils peuvent s’utiliser aussi bien en pleine terre que dans les jardinières ou les pots. Pour les nouveaux parterres, ils sont créés en utilisant ces différentes méthodes, les ollas et les hydro-rétenteurs ainsi que le paillage pour garder l’humidité des sols. Pour les parterres existants, nous allons les refaire au fur et à mesure, avec ces méthodes. Cela prend du temps mais ça en vaut la peine d’une part pour que nos plantes puissent s’épanouir mais aussi par le paillage, réduire les arrosages et éviter l’évaporation de l’humidité du sol mais aussi éviter de devoir désherber en permanence, d’où une perte de temps certaine. Concernant nos arbres fruitiers : 1) Il y a déjà 5 ans, j’ai importé et planté dans ma prairie d’entrainements des chiens, des variétés de noyers du Sud de la France, qui demandent moins d’eau, poussent sur du sol rocailleux ou aride et donc dans des conditions plus rudes. On verra sur la durée si je gagne mon pari.  Faire des greffons sur les arbres  2) dans mon autre prairie, elle aussi hyper drainée et sèche, j’ai planté des arbres fruitiers, différentes variétés de poires, de pommes, de prunes, de cerisiers bigarreaux, pêches blanches et pêches plates, et pour le moment 1 mirabellier. Avec les 3 années de sécheresse, en 2017, 2018 et 2019, mes arbres souffrent énormément du manque d’eau durant l’été et souffrent de la chaleur qui vient désécher leurs feuilles.  Cet automne 2019, pour chaque arbre, je vais forer dans le sol et placer un gros drain d’épandage, pour que l’apport d’eau (manuel) se fasse en profondeur et non plus en surface, afin d’hydrater correctement les arbres. On verra si ils s’en portent mieux dès l’été 2020. En parallèle, nous allons sérieusement nous concentrer aussi sur la récupération des eaux de pluie, en utilisant les surfaces des toits des chenils, pavillon de la pension, les abris, tous avec un toit en tôles donc propres, un peu partout sur notre propriété, côté Pension, pour avoir de l’eau pour nettoyer les chenils et  côté Elevage, idem pour avoir de l’eau pour nettoyer nos chenils, avoir de l’eau pour notre future serre mais aussi et surtout pouvoir avoir de l’eau pour nos parterres, nos arbres et nos haies. Nous allons donc placer à chaque gouttière des récupérateurs d’eau qui nous permettrons de redistribuer cette eau ensuite un peu partout dans nos plantations. Là aussi d’autres éleveurs m’ont dit être intéressés par ce type de projet pour leurs installations. Pour ce qui est de la récupération des eaux du toit de la maison, jusqu’à présent, nous récupérions l’eau d’1 seul pente. Depuis bien 3 ans, notre citerne était vide à partir de juin et jusqu’aux mois de pluies à l’automne alors qu’il ya 10 ans, notre citerne avait de l’eau toute l’année. La consommation, vu le développement de la pension et de l’élevage a certe, un peu augmenté mais ce sont surtout les mois sans pluie qui n’alimentent plus suffisamment la citerne. L’autre pente étant jusqu’à présent redirigée vers les égouts donc les eaux perdues. On a profité d’une fuite dans le cheneau en 2019, pour faire examiner celui-ci et décider, vu la vétusté, de le remplacer mais surtout d’inverser la pente du cheneau pour rediriger les goutières vers la citerne qui sera donc dorénavant alimentée par les 2 pentes du toit. On croise les doigts pour voir notre citerne se remplir à nouveau correctement.
Notre projet, en marge de nos chiens :
J’ai décidé de passer à l’action et en pratique, à ma petite échelle, ça donne quoi  ?
© Lequime Eleonore 2017,                      Créations Sites Internet - Web designs - Photographer   - Belgium            TVA : BE 549 730 573                    email : lequime.eleonore@hotmail.com
bientôt les images de notre “jardin”. Nous travaillons encore sur cette page.
J’espère que mon projet vous aura donné des idées pour les appliquer dans votre jardin, dans votre potager ou sur votre propriété, sur votre terrain, dans votre commune, .... Ce n’est peut-être qu’une petite goutte dans l’océan mais si chacun s’y met, les uns après les autres, toutes ces petites gouttes vont s’additionner les unes aux autres et l’impact sur la nature augmentera de plus en plus. Plantons des arbres, des haies, des haies fleuries, des fleurs. Utilisons ce que la nature nous donne, tout au naturel, du moins le plus possible, utilisons de moins en moins de produits chimiques insecticides et autres qui sont néfastes pour la nature, la faune et la flore, et surtout préservons l’eau un maximum, c’est un bien qui devient de plus en plus rare. Faisons en sorte que nos villes soient de plus en plus vertes, que nos campagnes se dépolluent et que la nature se porte mieux.
Nous sommes en train de refaire l’entrée de la pension, le chemin d’acces sera “vert et fleuri” et qui amènera de la fraicheur au pavillon et à la pension, comme un patio.  Le parterre unique est devenu 2 parterres  : d’un côté les azalees et camélias dans leur terre de bruyere (bien arrosés et assaisonnés de mes "grains d'eau", rétenteurs d'eau pour parer aux prochaines sécheresses). Et de l’autre, en terre normale, les rosiers arbuste et grimpants, sur arcades, de différentes couleurs et parfumés, le Magnolia Susan (fushia), un ceanothe bleu foncé (c'est un lilas de Californie Blue Sapphyr), une Passiflore bleue a trouvé sa place, nous la ferons orner le grillage et notre laurier rouge/rose en pot a trouvé sa place au soleil mais sera rentré en hiver.  on va devoir tailler encore la vigne et couper le sureau. Les floraisons vont donc se succéder avec des tas de couleurs. Restera encore les bordures à terminer et le chemin à paver, terminer le grillage et mettre les portillons d'entrée et de sortie pour finaliser le tout cet automne 2019. .